Dans la pénombre de la luxueuse chambre, Deux amants se retrouvaient, brisant leur promesse. Aucuns d’eux ne voulaient de cet amour, interdit et secret.
Mais que Merlin est idiot et cruel.
L’un comme l’autre ne pouvait se passer de ce parfum interdit et enivrant de chacun de leurs baisers
Le ténébreux sorcier était assis au bord du lit baldaquin de sa mystérieuse amante, découvrant avec malice, un spectacle qu’aucun autre homme ne méritait.
Une jeune femme dont la peau albâtre s‘accordait gracieusement, avec ses longs cheveux blonds, se tenait face à lui, son corps n’ayant pour habits que deux bas de soie fine, qui contrastaient brutalement avec son épiderme singulièrement pâle.
Les mains du bellâtre, se posèrent avec douceur sur les hanches voluptueuses de sa compagne, l’attirant tendrement vers lui.
Leurs regards ne pouvant se détacher, leurs lèvres se retrouvèrent dans un baiser langoureux comme si leur dernière étreinte n’avait jamais pris fin.
La chemise qui couvrait le torse hellénistique du sorcier, disparut rapidement. Il fut couvert de baisers brûlants et pressés, les lèvres de la délicieuse compagne, se mirent à dessiner de multiples arabesques langoureuses et indécentes sur la peau du jeune homme, le faisant gémir de plaisir.
Il posa sa bouche sur le cou fragile de l’éblouissante sorcière, goûtant le parfum froid et caressant de sa peau.
Ses mains glissèrent jusqu’à son intimité, lui susurrant son amour au creux de l’oreille, l’Apollon la caressa au plus profond d’elle, et, glissa un de ces doigts désireux de plaisir.
Elle se cambra, sous ces caresses interdites, gémissant à chaque mouvement, plongeant ses mains, dans la sombre chevelure, de son dangereux amant, lui faisant perdre toute raison existante.
Leurs souffles se firent haletants, rapides, et maladroits.
Le délicieux jeune homme, se débarrassa de son pantalon qui le tenait à présent, bien trop à l’étroit pour être supporter d’avantage. Il attira sa douce, contre lui, et bascula sur le lit. Il se mit à couvrir de baisers la sulfureuse poitrine de la sorcière; la caressant tendrement, embrassant sans cesse, le buste délicat.
A présent il jouait avec ses lèvres désireuses, mordillant les mamelons de son aimée, poursuivant ses caresses avec une ardeur animale.
Il embrassait la peau de sa compagne, explorant malicieusement chaque parcelle de sa poitrine, de son buste , de son ventre plat et doux comme la neige.
Avec lenteur, il descendit sa bouche, aux abords de l’intimité de la divine amante, l’explorant de langoureux baisers, d’arabesques sensuelles et indécentes, dont sa langue en était maître, la faisant susurrer comme jamais.
Elle captura les draps de soie, d’un geste spontané, luttant pour ne pas se laisser submerger par tant de plaisir. Mais rien n’y faisait, plus les gémissements retentissaient, plus l’envie du tendre partenaire grandissait, son prénom murmurait entre deux baisers.
Le sorcier cesse doucement sa suppliante torture et captura de nouveau les lèvres; de celle qui désirait depuis si longtemps .
Narcissa, le saisit brusquement par le cou, et répondit avec une telle passion, à l’étreinte, qu’elle en surprit son amant. Elle mordilla adroitement sa lèvre inférieure, tandis qu’une de ses mains aventureuses vient ôter le sous vêtement du superbe sorcier, le faisant gémir de délice.
Il l’attira contre son corps, et d’un brusque coup de hanche, il entre en elle.
Elle poussa un cri douloureux, et, plongea ses ongles dans la chair de son dos, le faisant grogner affectueusement.
Amycus entama une série de vas et viens virils, le plaisir s’intensifiant au file des minutes, la jeune femme accorda ses hanches onduleuses ) celles de son amour.
Les deux corps s’embrasaient, à merveille, l’un étant langoureux et souple, l’autre puissant et sensuel.
Le ténébreux Apollon accéléra le rythme. Leurs respirations se fracassèrent l’une contre l’autre. Il s’interrompaient par de nombreux râles et baisers, prenant tour à tour possession de l’un et de l’autre.
Ce fut, dans un dernier coup de rein, que leurs corps s’offrirent leur amour malsain et destructeur. Le mangemorts pénétra au plus profond de son amante, se libérant dans un gémissement rauque.
Quand à Narcissa, elle soupira son prénom, haletante, essuyant péniblement les gouttes de sueur qui perlaient son front.
Dans un ultime baiser, elle se lia, à cet homme qu’elle n’avait cessé de désirer, il se retira d’elle, sans rompre pour autant l’étreinte charnelle, et vint s’allonger à ses cotés, le souffle remontant les draps fins sur eux, lui susurrant ces derniers mots à l’oreille, avant de rejoindre les bras de Morphée .
-Je ne cesserais jamais de t’aimer.
Un sourire heureux se dessina sur son visage, et il rejoins sa compagne, aux pays des songes.
L’amour n’est donc pas inconnu aux funestes messagers du Seigneur des Ténèbres.
Narcissa & Amycus