mardi 19 octobre 2010

Première Lueurs

Une nuit s'est imposée.
Sa voix également, éternelle et désireuse
D'une plainte charnelle et Fantasque.

La mémoire de son regard
Lent et silencieux.
Emplie de douleurs et de regrets.

Les notes de notre histoire s'évanouissant
Sans un mot, sans un cri 
Seulement une fin, une honte.

Les traces s'effacent
Dans ces immenses plaines,
Que mes rêves, chaque nuit, foulaient.

Le temps se brise
Mais l'Aurore survint.



Le temps s'enfuit, ma vie aussi .

mardi 12 octobre 2010

Luttez

Aux portes de l'enfer.
L'âge demeure, la raison s'évanouit
Les cris autrefois inhumains, lentement disparaissent
L'humanité s'est éteinte
La foi aussi, les hommes meurent
Les illusions trépassent, et 
La guerre demeure.

Battez vous, pour vos frères et vos soeurs
Battez vous, pour vos pères et vos mères
Battez vous pour vos amours, et vos amis 

Mais surtout, Luttez sans relâche
Puisque vous seul possédez votre destin !

dimanche 12 septembre 2010

Bad Romance

Dans la pénombre de la luxueuse chambre, Deux amants se retrouvaient, brisant leur promesse. Aucuns d’eux ne voulaient de cet amour, interdit et secret.

Mais que Merlin est idiot et cruel.
L’un comme l’autre ne pouvait se passer de ce parfum interdit et enivrant de chacun de leurs baisers

Le ténébreux sorcier était assis au bord du lit baldaquin de sa mystérieuse amante, découvrant avec malice, un spectacle qu’aucun autre homme ne méritait.

Une jeune femme dont la peau albâtre s‘accordait gracieusement, avec ses longs cheveux blonds, se tenait face à lui, son corps n’ayant pour habits que deux bas de soie fine, qui contrastaient brutalement avec son épiderme singulièrement pâle.

Les mains du bellâtre, se posèrent avec douceur sur les hanches voluptueuses de sa compagne, l’attirant tendrement vers lui.

Leurs regards ne pouvant se détacher, leurs lèvres se retrouvèrent dans un baiser langoureux comme si leur dernière étreinte n’avait jamais pris fin.

La chemise qui couvrait le torse hellénistique du sorcier, disparut rapidement. Il fut couvert de baisers brûlants et pressés, les lèvres de la délicieuse compagne, se mirent à dessiner de multiples arabesques langoureuses et indécentes sur la peau du jeune homme, le faisant gémir de plaisir.

Il posa sa bouche sur le cou fragile de l’éblouissante sorcière, goûtant le parfum froid et caressant de sa peau.

Ses mains glissèrent jusqu’à son intimité, lui susurrant son amour au creux de l’oreille, l’Apollon la caressa au plus profond d’elle, et, glissa un de ces doigts désireux de plaisir.

Elle se cambra, sous ces caresses interdites, gémissant à chaque mouvement, plongeant ses mains, dans la sombre chevelure, de son dangereux amant, lui faisant perdre toute raison existante.

Leurs souffles se firent haletants, rapides, et maladroits.

Le délicieux jeune homme, se débarrassa de son pantalon qui le tenait à présent, bien trop à l’étroit pour être supporter d’avantage. Il attira sa douce, contre lui, et bascula sur le lit. Il se mit à couvrir de baisers la sulfureuse poitrine de la sorcière; la caressant tendrement, embrassant sans cesse, le buste délicat.
A présent il jouait avec ses lèvres désireuses, mordillant les mamelons de son aimée, poursuivant ses caresses avec une ardeur animale.

Il embrassait la peau de sa compagne, explorant malicieusement chaque parcelle de sa poitrine, de son buste , de son ventre plat et doux comme la neige.

Avec lenteur, il descendit sa bouche, aux abords de l’intimité de la divine amante, l’explorant de langoureux baisers, d’arabesques sensuelles et indécentes, dont sa langue en était maître, la faisant susurrer comme jamais.

Elle captura les draps de soie, d’un geste spontané, luttant pour ne pas se laisser submerger par tant de plaisir. Mais rien n’y faisait, plus les gémissements retentissaient, plus l’envie du tendre partenaire grandissait, son prénom murmurait entre deux baisers.

Le sorcier cesse doucement sa suppliante torture et captura de nouveau les lèvres; de celle qui désirait depuis si longtemps .

Narcissa, le saisit brusquement par le cou, et répondit avec une telle passion, à l’étreinte, qu’elle en surprit son amant. Elle mordilla adroitement sa lèvre inférieure, tandis qu’une de ses mains aventureuses vient ôter le sous vêtement du superbe sorcier, le faisant gémir de délice.

Il l’attira contre son corps, et d’un brusque coup de hanche, il entre en elle.

Elle poussa un cri douloureux, et, plongea ses ongles dans la chair de son dos, le faisant grogner affectueusement.

Amycus entama une série de vas et viens virils, le plaisir s’intensifiant au file des minutes, la jeune femme accorda ses hanches onduleuses ) celles de son amour.

Les deux corps s’embrasaient, à merveille, l’un étant langoureux et souple, l’autre puissant et sensuel.

Le ténébreux Apollon accéléra le rythme. Leurs respirations se fracassèrent l’une contre l’autre. Il s’interrompaient par de nombreux râles et baisers, prenant tour à tour possession de l’un et de l’autre.

Ce fut, dans un dernier coup de rein, que leurs corps s’offrirent leur amour malsain et destructeur. Le mangemorts pénétra au plus profond de son amante, se libérant dans un gémissement rauque.

Quand à Narcissa, elle soupira son prénom, haletante, essuyant péniblement les gouttes de sueur qui perlaient son front.

Dans un ultime baiser, elle se lia, à cet homme qu’elle n’avait cessé de désirer, il se retira d’elle, sans rompre pour autant l’étreinte charnelle, et vint s’allonger à ses cotés, le souffle remontant les draps fins sur eux, lui susurrant ces derniers mots à l’oreille, avant de rejoindre les bras de Morphée .

-Je ne cesserais jamais de t’aimer.

Un sourire heureux se dessina sur son visage, et il rejoins sa compagne, aux pays des songes.

L’amour n’est donc pas inconnu aux funestes messagers du Seigneur des Ténèbres.

Narcissa & Amycus



Whispers

C'est dans les Ténèbres et le désarroi qu'il est né.
D'une mère noble, et d'un parjure
C'est de cette nature dont il est l'héritier
Et dont la Honte et l'injure
En sont accompagnées.

Dans cette maison
Aux couleurs des Roublards, et des Malins
Il s'est fait une place
De laquelle il était craint

Mais de l'ennemie,
C'est offert, à sa vue
Celle de qui
Il ne se détachera plus.

De ces grands orbes Émeraudes,
C'est échappé, cette force
Qui mériterait toutes les fraudes
Ainsi que tous les pêchers.

Mais elle s'est enfuie
Dans les bras,
De celui qu'il n'était pas.
Brisant pour la dernière fois, Cette espoir
Qui survivait en soi.

C'est pour son souvenirs
Qu'il s'est battus
Usant de toutes les tortures
Ne vivant que dans le Mensonge
Puisqu'il ne connaissait que cette illusion

Mort en Traître
Pour avoir oser aimer
Au premier Regard.

Mort en Traître
Après une vie de Héros.

Mort en Traître
Pour avoir connu
Le mot Aimer.

Severus Snape.

jeudi 9 septembre 2010

The Catalyst ,Linkin Park

Cette brume incendiaire qui m'obstrue la vue.
Cette voix résonnant dans les bas fonds de mon esprit
Une menace ou bien un conseil, je ne peux en dire la nature.
Je marche,
Ma respiration s'accélère avec ténacité, la peur s'éprend de mon coeur.
Je cours,
Cette brume incendiaire qui m'obstrue la vue.
Cette voix résonnant dans les bas fonds de mon esprit
Elle semble lointaine à présent, et pourtant elle caresse mon épiderme
Elle effraie mon âme, noyant l'horizon dans un hurlement douloureux
Sans jamais cesser, Sans jamais respirer, elle continue, elle cri sans détours
La lumière s'efface, disparait, meurt.
Mes mains tendues tentent de la capturer de la rattraper de la retenir
Elle glisse, se faufile aux travers de l'espoir, s'évapore derrière ce ciel orageux.
C'est la fin , et c'est a mon tour de crier.

mardi 7 septembre 2010

Reflet Brisé

 Reflet Brisé

Les mains tremblantes, la jeune fille se releva du lavabo, observant son pâle reflet prêt à se briser.
Les nausées reprenaient chaque jour, ne cessant jamais.
Un frisson parcourut son épiderme.
Quelque chose n'allait pas, elle le sentait.
Quelque chose la rongeait.
Au début cette douleur pouvait être oubliée pendant de longs moments, n'être qu'une absence languissante.
Puis elle semblait ne plus vouloir disparaitre.
Rappelant à chaque instant, les choix déchirant d'une âme trop jeune pour être damnée.
Le silence, ce silence qui la hantait, nuit et jours.
Et ce sentiment d'abandon que son cœur abritait.
Comment Merlin peut il ne rien faire, quand l'horreur s'apprête à être commis ?
Comment peut il observer ceci, sans intervenir, c'est Inhumain.
Le remords de n'avoir pus être arrivé à temps.
Cette vengeance coulant dans ses veines, cette colère torturant son cœur.
Mais surtout la peur, cette peur meurtrière qui la détruirait au plus profond de son âme, réduisant son
Souffle à l'exil,  étouffant tous sentiments naissants.
Cette peur, qui bientôt aurait raison d'elle.


                                                      Ice Queen, Prison de Glace , Livre I

jeudi 8 juillet 2010

Malfoy's Mission

Le silence creux, entourant les murs de pierres
Le regard perdu dans une contemplation malsaine
L'heure approche, la peur aussi
Elle est là, ell est ici
S'infiltrant dans les moindres recoins de son esprit
Prisonnier, prisonnier d'un choix qui ne fut jamais le sien
Enfermé de doutes, rongé d'angoisses
Les mains moites, le visages blêmes
Des larmes s'écoulant sur sa peau albâtre
Des sanglots inhumains et détestables
Une voix fragile te suppliante
Une seule question, et aucunes réponses
Seul, contre tous, Seul contre lui
      Il marche
Le pas malade, et dangereux
Poussé par une fièvre aliénée
D'un dernier espoir évaporé
      Il marche
Vers notre fin .
Vers la ruine de ce monde auquel nous appartenons
Vers ce destin
     Il tombera
Comme un pion, sacrifié au combat
Comme le premier des Hommes
Comme le dernier de l'Ordre

Sa dernière pensée sera
Pour cette vie qu'il ne connaîtra pas
Pour cet espoir qu'il ne verra pas
Pour ce Bonheur, qui lui fur Interdit



Prince of Slytherin 

jeudi 1 juillet 2010

Pointe au Nord

Souffle mon ami , Arrache ses peines
Que mon coeur Languit
Hurle de ta force , Venge ses démons
Que la vie m'apporte
Vente , doux compagnon , Ma folie caressant
L'agilité de tes murmures
Las es- tu , de la Bêtise de mes semblables
Hybride de Pêchers malsains
Souffle toujours , Cruauté de mes songes
Allié meurtrié
L'espérance de mon être , Résidant
Dans la caresse , Faîtes aux quatre Vents .

Tendres Affections

Crépuscules de mes rêves
Fantasques et Perfides
Annonce d'un désir
Langoureux et Inhumain
Souhait d'une caresse
Meurtrière et Intime

Que cette prière soit accordée
Et responsable en sera ton Pêcher

Memories

Oublions .
Oublions cette Nature si Froide
Ce visage pareil à celui du Marbre
Oublions cette Voix suppliante
Ce regard Sombre et Inquiétant
Oublions .

jeudi 13 mai 2010

Obscur

Tomber .
Lutter , Non .
Hurler .
Se Battre , Non .
   Ne plus avoir la Force
   Se laisser Abattre
   Je crois bien que c'est La Fin
   Mais il n'y aura pas d'Aurore
Tomber
Lutter , Non
Hurler.
Se Battre , Non .

lundi 10 mai 2010

Creux des Abîmes

Pleure , pleure petite catin
Que ton corps écorché et sali
Ne t'apporte que dégouts et délits

Brûle , brûle Âme déchirée
Par mes fantasmes, tu ne puisses plus
Jamais lutter

ô Meurs , meurs , joli jouet
Ton temps s'est écoulé
Ton existence ne fut que pêcher

Pleure , pleure petite lueur
Demain , l'espoir de ton coeur s'évanouira
Et dans les ténèbres tu plongeras

Cris , cris Hypocrite
Le son de ta voix , lentement
Dans les Abîmes , s'étoufferas

Joue , joue curieuse créature
Le rire mesquin du destin
ne sera que muet , à tes appels d'aventure

Dors , dors peite sotte
Morphée dans ton sommeil
viendra te dévorer

Rêve , rêve , t'en que tu le peux
Mais surtout n'oublie pas
Le monstre, qui , dans tous hommes
Est tapie
Comme une Ballerine Elle s'est Élancée
& Dans les airs , Elle s'est Envolée .


Je t'écoute . Doux murmure

lundi 15 mars 2010

Gourmandise de l'Échéance

Allongée dans mes Rêves , Je songe .
Parcourant ton visage de mes murmures
Soufflant tes Caresses , a mon Oreille
Oubliant un instant , Le monde qui nous entoure .

Comme j'aime Imaginer tes lèvres
Douces et blanches
Pareils aux Premières Neiges
Inespérés comme Mes Espoirs , si longuement ignorés

Alors Je me laisse bercée
Au rythme des Nuages
Comptant les Floraisons
De mon Passé .

Dépassant mes Mots
Mon Innocence a Disparue
Dans les Limbes
de mon Enfance

mardi 9 mars 2010

Tragique Destin

J'ai les entrailles Nouées .
Mon corps semble paralysé
Tous mes membres engourdis par la Peur
Que ne donnerais-je
Pour respirer de Nouveau
L'air pur , Que m'offrait la Liberté .
Cette Angoisse qui me trahit
Dans chacuns de mes gestes
N'est qu'Assassine
Longtemps je l'ai ignoré
Là-bas dans cette Obscurité
Dont la Vie m'a foudroyée ..
Ce sont mes dernières notes
Que je joue .
La mélodie s'achève
Dans un regret sourd et Incertain .
N'oublis pas ce que je suis ..
N'oublis pas nos moments de Vie
Saches que la seule chose auquelle
J'ai survécue , fut cette Guerre
Dans laquelle tout s'opposa
Et dont la Haine ,
A la fin , Régna .


Adieu

lundi 8 mars 2010

La Nature de l'Homme

Naître .
Est ce par cela que tout commence ?
Le Monde est il né , lui-aussi ?
Dans un Cri ? Etouffé par un Sanglot ?
Que savons nous de la Vie ?
Si ce n'est que la Mort ?
Quel est ce But ,
Pour lequel Chaque Homme Vient au Monde ?
Que savons nous de notre Histoire ?
Que savons nous de nous-même ?
A qui appartient cet héritage que nous traînons
Depuis des Millénaires ?
Notre vie n'est elle , qu'une éternelle recherche
De la Vérité .
Ou un Long souvenirs emplis de Mensonges ?
Que savons nous de nous-même ?
Rien . Toute Vie est éphèmère .
Chaque Année n'est que seconde .
Chaque Siècle n'est que minute .
Quels sont ces choses , Pour lesquels
Nous nous battons ?
Quelle est cette Liberté , Pour laquelle
Nous sommes Enfermés ?
Quelle est donc cette Nature , Pour laquelle
Nous nous détruisons ?
Il n'y a aucunes natures chez l'homme
Si ce n'est celle de la Haine et de la Destruction .

lundi 1 mars 2010

O Chevalier , Créature de mes Rêves Fantasques

J'ai Tant rêver de tes yeux , de ton regard
Embrumé dans l'oublie de ta mémoire
De ton sourire , lointain , et mystérieux
De ces mensonges auquel tu t'attelais
De ta peau albâtre reflétant la douceur
De mes Lèvres .
Une impression de te connaître depuis
Des millénaires .
Une sensation de t'appartenir .
Oubliant toutes lois ,
Je sombre dans cette Folie
Qui me ronge depuis bien trop
de Temps



Un jour je te rencontrerais

samedi 20 février 2010

le sourire d'un espoir

Je souris , Il est temps .
L'esprit Divague dans les Mémoires Douloureuses de Ses enfants .
Tremble , Ces souvenirs de Bonheur
Mens cette Vie , qui nous arrache Ces moments D' Espoirs
Apprenez que la Vie n'a rien de Romanesque
Que toutes aventures a un Prix , Celui des Remords et des Regrets .